On en parle dans la Presse
Dans un article du GEOPHYSICAL RESEARCH LETTERS, VOL. 37, L09705, 5
PP., 2010
doi:10.1029/2010GL042845
"Climate change in cities due to global warming and urban effects"
relayé par
Le Monde du 9 juillet 2010
extrait :
" Béton, asphalte, acier, immeubles freinant le vent… l'environnement
urbain laisse peu de place à la végétation. Chaque
nouvelle construction renforce ce que les scientifiques nomment "effet
îlot de chaleur urbain" ou "effet îlot thermique urbain", c'est-à-dire
le cocktail chaleur, pollution et densité de population.....
......
Dans quarante ans, près de 70 % de la population mondiale pourrait
vivre en ville, ce qui fait dire aux scientifiques que le réchauffement
des nuits pourrait avoir des conséquences importantes en terme de
santé publique, en faisant augmenter de façon significative
les décès liés à la chaleur. Des réflexions
sont d'ailleurs en cours dans certaines grandes villes pour essayer de
réduire l'effet de l'îlot de chaleur urbain : peindre les
toits en blanc pour qu'ils réfléchissent davantage la chaleur,
ou créer des toits végétalisés."